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Rite de passage entre l’enfance et l’âge adulte, le bal de finissants est un événement social majeur dans la vie des jeunes. Ce moment festif, associé à la réussite scolaire, marque la fin d’une étape importante.
La frénésie entourant cet événement riche en émotions, peut susciter beaucoup de fierté pour les parents, mais peut aussi amener son lot d’inquiétudes et une facture salée pouvant devenir un véritable casse-tête financier. Cette réalité est encore plus accentuée chez les adolescentes souhaitant elles aussi vivre un jour le fameux tapis rouge. Les dépenses moyennes pour cette soirée de rêve se chiffrent facilement à un montant de 600$ et peuvent s’élever rapidement.
Pour s’offrir une robe de princesse, avec un budget parfois semblable à celui de Cendrillon avant sa métamorphose, il faut savoir user de stratégies inusitées.
Dans cet esprit, la Maison Richelieu Hébergement Jeunesse est la recherche de robes de bal de seconde main sommeillant dans vos armoires. Au cours de cette collecte qui se poursuivra tout au long de l’année, nous recherchons la diversité tant dans les modèles, les tailles, que les couleurs.
Certaines de ces robes seront mises à l’honneur lors de la tenue de la 1ère édition de notre spectacle Mon identité, ma liberté, où seront présentés différents tableaux évoquant le parcours des jeunes. Cet événement printanier se clôturera par un défilé de robes de bal recyclées, symbolisant le cheminement et la transformation.
Un prospectus promotionnel présentant un échantillon des produits disponibles pour ventes sera également distribué dans l’ensemble des écoles secondaires de la région et des organismes jeunesse du milieu.
L’appel est lancé. Grâce à votre appui, les filles de la région ayant un budget serré ou ne voulant pas dépenser une fortune pour s’offrir ce vêtement, pourront elles aussi vivre ce moment significatif et rayonner lors de cette soirée.
Trente millions. C’est le montant d’argent dépensé chaque année en tenues de bal. Une. C’est en général le nombre de fois que celles-ci seront portées. Quand on y pense, ça vaut la peine d’aller faire un tour dans sa garde-robe et de passer au suivant…
Chantal Larouche
Directrice générale